Artiste autodidacte, Agathon a animé ses premières surfaces sous la double influence de la Figuration Libre et du Street Art.
C’est de ces deux attractions qu’est né chez elle le désir de tout colorer, dans le grand format. Colorer des toiles, des panneaux, des murs, des kakémonos, et aussi ses grandes sculptures en matériaux composites.
C’est cette diversité des supports, et sa technique du cerné qui lui ont fait choisir le pinceau à la bombe, y compris pour les murs.
À partir de là se sont multipliées les expos en galerie, les performances murales, mais aussi les décors de théâtre et de cinéma, et jusqu’à la couverture de « Journal d’Hirondelle » d’Amélie Nothomb, conçue comme un mur dans son petit format de poche.